Le rêve est de vivre ce moment comme un beau moment, un souvenir de plus à ajouter. Mais malheureusement un moment de plus à vivre et à franchir et souvent vécu comme une épreuve de plus dans cette vie que d’autres qualifient sans saveur lorsque le soleil ne se lève peut-être pas sur sa partie. Voici quelques conseils pour traverser la cérémonie funéraire.
Resserre les liens
La solidarité est une façon très honoré que la famille puisse offrir à un défunt. C’est dans ces moments si délicats soient-ils que chacun recherche de l’attention et surtout du soutien morale et physique. Cette solidarité peut être faite à partir de la manière à bien faire les choses pendant les funérailles du défunt. Pourtant cela demande de temps d’où vienne l’intervention de l’agence funèbre experte comme ce site et qui a la capacité de répondre au désir de la famille ou à la dernière volonté du défunt lui-même. Si vous avez choisi l’inhumation et préfère la pierre tombale, ou a adopté l’incinération qui nécessite une urne cinéraire de quoi mettre la cendre, n’hésitez pas à vous confier au funelior.fr qui sera à votre disposition pour honorer votre proche. C’est un moment familial de se retrouver et de se réconforter les uns des autres car c’est dans ce moment-là qu’on reconnait la valeur d’une famille qui nous soutienne.
Honorer le défunt
Lorsque vous portez une attention particulière sur la manière dont se passe la cérémonie, c’est une façon d’honorer le défunt. Décorer la pierre tombale avec des éléments décoratifs de chez funelior.fr est une excellente manière de se retrouver et de resserrer un lien éternel avec le défunt. C’est un lien que vous porterez en vous pendant toute votre existence, d’adorer quelqu’un jusqu’à ce qu’il parte réellement.
Malgré cela, il faut trouver comment ne pas subir cette cérémonie, et l’organiser au plus près de ce que l’on ressent de juste vis-à-vis du défunt et de nous-mêmes. Lorsque les choses se décident à plusieurs, c’est important de permettre à chacun d’apporter sa pierre à l’édifice. De façon à pouvoir se dire quand tout est fini : j’ai fait au mieux pour lui, pour les autres qui étaient là, et pour moi-même.
Accepter son ambivalence
Cette cérémonie des obsèques est teintée, pour les endeuillés, d’une forte ambivalence. D’un côté, elle joue un rôle symbolique majeur, auquel il n’est pas question de se soustraire : à travers elle, on veut rendre hommage au défunt. Et de l’autre, on a envie de fuir ce moment où l’on va véritablement prendre acte de la disparition de l’être aimé, se séparer du corps, et devoir affronter les autres, recevoir leurs condoléances, être là au milieu de l’assemblée, alors qu’on flotte dans un entre-deux hors du temps.
Selon le livre de l’écrivain Brigitte Giraud, il a rédigé après la mort de son mari, a cette phrase si juste : « Je passe d’une chaise à l’autre, je me lève, je ne sais pas quoi faire de ma peau, je ne trouve pas ma place. » Et puis, chacun va finir par partir, retourner à sa vie, alors que la nôtre s’est arrêtée.